Étant bonne camerounaise, et fière de l’être, la tchop* est l’un des premiers plans de ma vie. Et cela est encore plus compréhensible lorsqu’on sait que mon enfance a été bercée par les bons petits plats de ma grand-mère, de ma mère, et de mes tantes. D’ailleurs, ils me bercent toujours encore, soit dit en passant, lorsque j’ai l’occasion d’être près d’eux physiquement. La réalité est que c’est rarement le cas, et deux solutions s’offrent à moi :

  • Reproduire ses plats de moi-même, en leur demandant les recettes, ou
  • Aller dans un lieu qui propose le même plat, profitant ainsi du talent culinaire d’une tierce personne…

La première solution est formidable, et me permet de me replonger dans mon enfance. Cependant la contrainte temps n’est pas des moindres. La seconde solution quant à elle, non seulement réduit cette contrainte, mais aussi me fait découvrir des talents culinaires. Certes, elle implique une contrainte financière quelquefois plus élevée que celle de la première solution, mais il suffit de trouver le bon ratio qualité/prix.